27 juin 2017

Asie - Singapour

Press play my dear



Le Merlion, symbole de Singapour

Un élécorne

Modernité

Marina Bay Sands

Et si je montais là-haut?

Splendide vue sur les Gardens by the bay

Architecture végétale

Et dinosaures en embuscade!

Ouch!

Cloud forest




Rafflesia en légo

Plantes carnivores

Flower dome

RRRrroar!

Le retour des cerisiers en fleurs


La mosquée Masjid Sultan

Temple hindou Sri Mariamman

Temple de la relique de la dent de Bouddha


Des gros escargots tout chauds

Même pas peur!

Petit dèj' entre primates

Petit dèj' typique: toasts beurre/kaya (confiture de lait de coco), œufs mollets et kopi (café au lait concentré sucré)

Le texte:

Graou les choupinous !

Je vous retrouve en Asie, au niveau de l'équateur, et plus précisément à Singapour, un État indépendant à la pointe de la Malaisie.

Dès les premiers pas dans ce lieu totalement paradoxal, on se retrouve confronté à plusieurs chocs.
Climatique d'abord, avec des températures au dessus de 30°C + humidité étouffante à l'extérieur, et une climatisation agressive dans les bâtiments.
Ensuite, un choc culturel. Ici, il n'y a pas moins de 4 langues officielles (Anglais, Mandarin, Tamoul et Malais) et une population que semble venir des 4 coins du monde. C'est un extraordinaire mélange de couleurs, de gastronomies, d'architectures et de cultes qui cohabitent dans un mouchoir de poche. Une leçon de tolérance et d'ouverture d'esprit.
Enfin, un choc historique dans lequel les temples anciens et les traditions se mêlent aux gratte-ciels flambant neufs et aux innombrables centres commerciaux. Le tout baignant dans un cadre végétal luxuriant.

J'ai eu un coup de cœur pour les jardins de la baie qui sont splendides et futuristes. On peut y visiter un dôme montrant la "cloud forest" ( je ne sais pas traduire ce terme en Français mais ça désigne la végétation qui pousse autour des nuages formés par les cascades). Une énorme cascade a été recréée et les visiteurs spiralent entre les diverses plantes et explications interactives.
Un autre dôme est quant à lui consacré à des expositions changeantes sur les fleurs du monde. J'en ai pris plein les yeux, jusqu'au moment où j'ai vu au centre du dôme les cerisiers en fleurs. Une année s'était donc écoulée depuis mon départ, la boucle était bouclée, les cerisiers avaient refleuri, et je pleurais devant ces magnifiques arbres si chers à mon cœur.

Une fois remise de mes émotions, j'ai déambulé entre les différents quartiers Chinois, Indien, et Arabe, tous plus colorés et richement décorés les uns que les autres. Je suis montée sur une terrasse au 57ème étage du complexe de Marina Bay Sands, qui donne une vue panoramique à couper le souffle. Mais à mon grand regret, je n'ai pas pu goûter la spécialité culinaire locale, le crabe pimenté. Ce n'est que partie remise je l'espère, et en parlant de piment, je vous laisse sur la seule chanson que je connaisse qui parle de Singapour: « Punker » d'Indochine. Couvrez les oreilles sensibles retrouvez moi prochainement de retour en Europe (ou presque...). Kissous mes auditeurs!


8 juin 2017

Australie - Sydney

Clique sur play pour écouter Pam la félay



Le bonheur des frangipaniers

Le voici, le voilà: l'opéra!

Harbour bridge

Le port

Contempler le ciel Austral, une joie sans fin

Glace (à paillettes!) faite avec de l'azote en mode film d'horreur

Les jardins botaniques



Parce qu'ici, tu peux avoir une urgence de tongs

St Mary's cathedral

Musée maritime

Queen Victoria Building: le plus beau "mall" que j'aie vu

Indeed...


Quartier d'Oxford street
Blablabla:

Abracadabra mes ptits koalas!

Avant de rentrer au pays des mangeurs de grenouilles, j’ai fait un petit saut (de kangourou cela va sans dire) à Sydney, ville emblématique de l’Australie.

Après le calme Néo-Zélandais pendant 11 mois, l’agitation urbaine m’a sauté en plein visage. Boum, retour à la civilisation !

Tout d’abord, je tiens à faire un petit point capillaire. Mesdames (et messieurs également), ne perdez pas votre temps dans une coiffure ou encore mieux, un brushing, la pluie et le vent se relayent en permanence, voire se combinent, dans le seul but de réduire tous vos efforts à néant.

Que vous dire d’autre sur Sydney ? Et bien d’abord que c’est une grande ville et qu’elle fait plus internationale qu’Australienne. Autant j’ai trouvé que Brisbane (A la suite d’un fou rire international, j’ai appris à mes dépends qu’on ne disait pas « brise-benne » mais bien « brise-bun ». C’est subtil mais c’est comme ça), que Brisbane donc était tout ce qu’on peut s’imaginer de la coolitude d’une ville de surfeurs, alors que Sydney pourrait être une métropole n’importe où d’autre dans le monde. Enfin, ça n’engage que moi, je me suis peut-être faite biaiser par le mauvais temps incessant.

Cependant, cette ville a un charme certain et est agréable à visiter. Le quartier des Rocks est le plus touristique avec son quai qui donne une vue imprenable sur l’opéra, son musée d’art contemporain et sa vieille ville qui débouche sur l’impressionnant pont de métal nommé Harbour Bridge. La traversée est vertigineuse et l’effet amplifié par un vent d’une force extraordinaire.

Il y a aussi au choix les somptueux jardins botaniques royaux et les immeubles modernes qui jouxtent les bâtiments coloniaux. S’il ne fallait en citer qu’un, ça serait sans hésiter le Queen Victoria Building. C’est un splendide centre commercial (non, moi non plus je pensais pas dire ca un jour) en plein coeur de la ville. L’architecture est dingue, une verrière, des horloges suspendues immenses, des vitraux colorés, des couleurs qui pètent ! Waouw !

Je ne suis malheureusement pas allée explorer les plages aux alentours, ni le fameux outback et les montagnes bleues, à cause d’un temps menaçant et limité, mais il paraît que ça vaut le coup.
Pour être raccord avec la météo, je laisse vos oreilles en compagnie du groupe le plus connu d’Australie avec une petite musique douce. Mais non, je déconne, fais tournoyer ta crinière et joue de la guitare en short sur Thunderstruck d’AC/DC !!!